Cet article a été publié par la revue Herpetological Journal en janvier 2019.
Il traite de CMR (capture-marquage-recapture), et plus précisément de photo-identification.
L’enjeu de ce procédé est de reconnaitre des individus non pas grâce à une bague ou un transpondeur, mais grâce à des motifs ou des formes corporels (forme de la queue d’une baleine ou rayures d’un zèbre par exemple).
Plusieurs logiciels existent à cet effet, mais la littérature montre que Wild-ID est le plus efficace. Si ces logiciels sont d’ordinaire utilisés pour des espèces ayant des motifs bien distincts (un requin baleine, une salamandre tachetée, une girafe…), nous montrons en utilisant le Spélerpès de Strinati Hydromantes strinatii que Wild-ID est tout aussi performant avec des motifs corporels plus « diffus ».
Vous pouvez retrouver cet article sur le portail documentaire de la Tour du Valat.
Référence bibliographique : Renet J. 2019. Monitoring amphibian species with complex chromatophore patterns: a non-invasive approach with an evaluation of software effectiveness and reliability. Herpetological Journal:13–22. doi: 10.33256/hj29.1.1322