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Dossier de newsletter France, Méditerranée • Publié le 1 décembre 2025

Quelle utilisation du golfe du Lion par les oiseaux marins et migrateurs ? Les résultats du programme Migralion

Le 6 novembre 2025 a eu lieu la restitution publique du programme Migralion (2021-2025), dédié à l’étude de l’utilisation du golfe du Lion par les oiseaux marins et terrestres, l’occasion de présenter les résultats issus du programme dans lequel la Tour du Valat est impliquée.

Ce projet, initié par l’OFB et l’État, a vu le jour grâce notamment à un cofinancement de 4,2 millions d’euros mobilisé par l’État et les Régions Sud et Occitanie. Face au constat d’un manque crucial de données sur les oiseaux marins et migrateurs, notamment dans le golfe du Lion, et la nécessité urgente d’acquérir des connaissances précises sur ces espèces, un consortium de scientifiques associé à un bureau d’étude, coordonné par l’OFB, a été constitué pour déployer le programme Migralion dès 2021. Leur approche reposait sur l’utilisation combinée de diverses technologies et méthodes de suivi complémentaires, permettant une approche méthodologique intégrée et optimisée.

Le golfe du Lion, zone clé de passage des oiseaux sous pression face aux défis de l’éolien offshore

Le golfe du Lion, segment français de la mer Méditerranée s’étendant du Cap de Creus (Espagne) au Cap Sicié à Toulon, constitue un plateau continental large et peu profond, configuration rare en Méditerranée.

Cette zone subit une pression anthropique croissante depuis plusieurs décennies. Les oiseaux marins et les oiseaux migrateurs y subissent de multiples menaces : perturbation des zones de repos et d’alimentation par le trafic maritime et le tourisme, modification des conditions environnementales et des routes migratoires liée au changement climatique, mortalité directe par captures accidentelles de pêche et pollution plastique ingérée par les oiseaux. À ces pressions existantes s’ajoute désormais le développement de l’éolien offshore, source de mortalité directe par collision avec les pales et par impacts indirects via le déplacement des zones d’activité des oiseaux, pouvant induire des coûts énergétiques de vol supplémentaires et la perte d’habitats fonctionnels.

Or, la France développe progressivement l’éolien en mer, avec plusieurs projets pilotes et parcs commerciaux en cours. Elle ambitionne d’atteindre 18 Giga Watt d’éolien en mer d’ici 2035 et 45 Giga Watt d’ici 2050, avec une part significative en Méditerranée.

Dans ce contexte, la planification de projets d’éolien flottant en Méditerranée soulève des interrogations concernant l’impact potentiel de ces infrastructures sur les oiseaux. Le programme Migralion répond précisément à cette problématique en proposant une analyse de l’utilisation de l’espace marin par les oiseaux, préalable essentiel à une planification écologique et durable de ces futurs aménagements.

Un panel de méthodologies complémentaires développées pour apporter des connaissances sur la faune volante du golfe du Lion

Le programme Migralion visait à combler les lacunes de connaissances concernant la faune volante en milieu marin dans le golfe du Lion, comprenant les oiseaux marins, les oiseaux migrateurs terrestres transitant au-dessus des zones marines, ainsi que les chiroptères.

Aujourd’hui, aucune technologie ne permet de collecter l’ensemble des informations nécessaires pour décrire de façon précise l’utilisation du golfe du Lion par l’avifaune en quatre dimensions (longitude, latitude, altitude et temps) à l’échelle d’une zone aussi grande que celle du golfe de Lion. Ainsi, plusieurs méthodologies complémentaires de collecte de données ont été développées : des suivis télémétriques (équipement d’oiseaux avec des balises GPS pour déterminer les trajectoires et les hauteurs de vol), suivis par radar le long de la côte du littoral méditerranéen français permettant de recueillir des données sur les altitudes de vol au niveau côtier et suivis en mer à l’aide de transects par bateau, combinant observations directes et radars embarqués.

Un travail conséquent a été réalisé afin de combiner ces jeux de données collectés dans des modèles intégrés de manière à caractériser de manière robuste la migration de l’avifaune terrestre et l’utilisation de l’espace par l’avifaune marine dans le golfe du Lion.

Équipement d’une échasse blanche avec une balise GPS © Stephan Tillo – Tour du Valat

La Tour du Valat s’est largement consacrée à l’acquisition de données de télémétrie aux côtés du CEFE/CNRS et du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN).

Une large échelle de tailles d’oiseaux a été équipée, depuis les rougequeues à front blanc de 12g jusqu’aux flamants roses de plus de 4kg, afin d’obtenir des connaissances sur le franchissement de la mer Méditerranée d’une partie la plus représentative possible des oiseaux migrateurs et des oiseaux marins. En parallèle du lot télémétrie, la Tour du Valat a suivi l’analyse des résultats finaux, et a participé à la communication du projet.

Équipement d’une Avocette élégante avec une balise GPS © Stephan Tillo – Tour du Valat

Des connaissances inédites

Coucou geai équipé d’une balise GPS © Stéphan Tillo

295 espèces d’oiseaux ont été recensées comme fréquentant régulièrement ou occasionnellement le golfe du Lion. Sur la période du programme, 10 campagnes en mer avec radars et observateurs embarqués ont été menées ; 40 000 heures de données ont été enregistrées par les radars à la côte ; 824 individus issus de 40 espèces d’oiseaux différentes ont été équipés de balises GPS ou GLS (pour les plus petites espèces). Les résultats obtenus sont uniques et des modèles ont été développés pour répondre au mieux aux questions suivantes :

Comment les oiseaux marins utilisent-ils l’espace marin du golfe du Lion ?

L’utilisation du golfe du Lion a été cartographiée pour sept espèces d’oiseaux marins en période de reproduction et onze espèces en période hivernale (détail des résultats ici.).

Des cartes synthétiques de vulnérabilité des oiseaux marins suivis révèlent que les zones de risque éolien les plus élevées se concentrent principalement près des côtes en période de reproduction. Hors reproduction, des zones à risque supplémentaires apparaissent plus au large, notamment à l’ouest du golfe (cf. Carte ci-dessous).

Ces cartes de vulnérabilité, bien qu’offrant une première approche intégrant une part importante des espèces les plus régulièrement observées dans la zone, ne permettent pas une évaluation exhaustive de la sensibilité de l’ensemble de l’avifaune marine fréquentant le golfe du Lion.

Carte de vulnérabilité des oiseaux marins face aux projets éoliens dans le golfe du Lion en dehors de la période de reproduction, avec mesure d’incertitude associée (en bas à droite). Issue de la modélisation des données acquises entre 2022-2024.

Légende sur les zones prioritaires pour le développement de l‘éolien (Décret ministériel du 18 octobre 2024) :

  • Zones vertes : éoliennes pilotes (EFGL = Leucate-Le Barcarès, EOLMED = Gruissan, PGL = Faraman-Port-Saint-Louis-du-Rhône)
  • Zones hachurées : parcs attribués (Nar : Narbonnaise 1, GdF : golfe de Fos 1) et mis en concurrence (extensions, Narbonnaise 2, golfe de Fos 2)
  • Zones à points : zones prioritaires retenues pour la mise en concurrence (GLC) et à l’horizon 10 ans (GLE)
  • Zone en pointillés : zone retenue pour l’horizon 2050 (GLO)

Quelles zones présentent les flux migratoires les plus intenses des oiseaux migrateurs au sein du golfe du Lion ?

Un modèle de spatialisation des flux migratoires combinant les données issues du radar embarqué lors des campagnes en mer et les données de suivi GPS de 458 oiseaux migrateurs terrestres de grande taille révèle qu’en période automnale, l’intensité migratoire se concentre principalement à proximité de la côte, dans la moitié ouest du golfe du Lion.

Dans cette zone se dessine un axe migratoire large partant de la Camargue et longeant la côte jusqu’à la frontière espagnole. Dans une moindre mesure, des flux secondaires traversent le golfe depuis la Camargue plein Sud vers la mer, ainsi que des zones utilisées dans la bande de mer vers l’est en direction de la Sardaigne et de la Tunisie.

 

Ces cartes présentent l’intensité migratoire relative dans le golfe du Lion des oiseaux migrateurs en période prénuptiale (janv.-juin) et postnuptiale (juillet-déc.), issue d’un modèle combinant :

– Les localisations GPS d’oiseaux de grande taille (>75g)

– Les échos enregistrés la nuit par radar vertical lors de transects en bateau

La vignette en bas à droite indique les niveaux d’incertitude (coefficient de variation) associés aux prédictions du modèle pour chaque cellule de la grille : plus les valeurs sont élevées, plus la prédiction est incertaine.

 

La migration printanière présente des caractéristiques similaires à celle d’automne, avec toutefois un flux davantage côtier et des intensités migratoires maximales concentrées dans la partie ouest du golfe du Lion.

Ces résultats montrent une superposition importante, en particulier lors de remontée des migrateurs en saison prénuptiale, entre les zones de forte intensité migratoire et celles envisagées pour la construction de parcs éoliens offshore dans le golfe du Lion.

À quelle hauteur volent les migrateurs terrestres lorsqu’ils traversent le golfe du Lion ?

Les données combinées des radars côtiers et des balises GPS révèlent peu de variations saisonnières dans la répartition des hauteurs de vol (médiane de 150 m en automne, 157 m au printemps). Une proportion importante (51% des hauteurs de vol prédites) des vols s’effectue à des altitudes dans l’emprise des pâles des éoliennes (sous les 300 mètres de hauteur). Pour les petits oiseaux tels que les passereaux, les données collectées sont limitées, mais 10 des 28 traversées (soit 36 %) se sont déroulées à une altitude médiane inférieure à 500 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Quelles conclusions quant au développement de l’éolien en mer ?

Le programme Migralion a considérablement enrichi les connaissances sur l’utilisation du golfe du Lion par les oiseaux. Dans le contexte du développement de centrales éoliennes en mer Méditerranée, les résultats révèlent une vulnérabilité marquée des oiseaux marins et des espèces migratrices, qui évoluent fréquemment dans la zone des pales éoliennes. Les données spatialisées de hauteur de vol des oiseaux de grande taille confirment les risques d’interactions directes (collisions) et indirectes (évitement) avec les futurs projets éoliens offshore.

Bien que des études complémentaires puissent affiner ces observations en fonction des espèces, l’enjeu se porte désormais sur la quantification de la mortalité réelle et l’évaluation de ses effets sur la dynamique des populations d’oiseaux.

Le Décret ministériel du 18 octobre 2024, issu du débat public « la mer en débat », a défini les zones prioritaires pour l’éolien flottant en Méditerranée, à l’horizon 10 ans et à l’horizon 2050, sans pour autant attendre les résultats de Migralion.

Les scientifiques de la Tour du Valat préconisent trois principes :

  • Privilégier la sobriété énergétique, tout projet de développement ayant un impact sur la biodiversité,
  • Substituer les énergies renouvelables aux fossiles plutôt que de les additionner,
  • Enfin, appliquer rigoureusement la séquence ERC (Éviter-Réduire-Compenser) dans le cadre du développement des centrales éoliennes en mer Méditerranée, en intégrant les résultats de Migralion. En particulier, les zones à risque identifiées par le programme doivent être évitées pour limiter la perte de la biodiversité.

Acquérir de nouvelles données pour mieux comprendre les impacts cumulés

Les oiseaux marins et grands migrateurs terrestres, espèces à longue espérance de vie, sont particulièrement vulnérables à l’éolien offshore : toute hausse de mortalité peut impacter significativement leurs populations. Bien que les petites espèces présentent des dynamiques démographiques plus rapides, les migrateurs connaissent un déclin généralisé depuis plusieurs décennies.

La mesure directe des collisions en mer reste complexe, les carcasses tombant généralement à l’eau, mais les études en mer du Nord suggèrent un phénomène potentiellement important. Il devient urgent de mieux prédire les impacts des collisions ou évitement des éoliennes sur la dynamique des populations. Cependant, la modélisation des impacts démographiques sur les migrateurs est pour le moment un défi méthodologique, notamment pour assigner les mortalités aux populations d’origine.

Par ailleurs, les impacts simultanés liés à l’éolien en mer, à la pêche industrielle, au trafic maritime, à la pollution lumineuse et plastique, ainsi qu’aux effets du changement climatique, créent un contexte environnemental complexe, où les perturbations ne s’additionnent pas nécessairement, mais peuvent interagir et amplifier leurs effets respectifs. Comprendre ces impacts cumulés constitue un défi majeur pour la conservation de l’avifaune, mais aussi une étape incontournable pour garantir un développement durable des énergies marines, fondé sur une connaissance fine des dynamiques écologiques à l’échelle des écosystèmes marins.

Le mot de la fin :

Grâce au projet Migralion, qui a mobilisé de nombreuses équipes dont celle de la Tour du Valat, les mystères de la migration des oiseaux entre Europe et Afrique commencent à se dévoiler. Des données précieuses que l’Etat et les opérateurs des futurs projets d’éolien offshore doivent prendre en compte. – Jean Jalbert


Contact

Jocelyn Champagnon, Directeur de recherche, Tour du Valat

Partenaires financiers

  • Office Français de la Biodiversité
  • Ministère de la Transition écologique
  • Région Sud et Région Occitanie

Partenaires techniques

Principaux membres et structures du consortium MIGRALION : CEFE/CNRS, MNHN, Biotope, France Energies Marines, Pôle Mer Méditerranée

De très nombreux collaborateurs et partenaires ont permis la bonne réalisation de ce programme. En particulier, les importantes acquisitions de données dans le lot Télémétrie n’auraient pas été possibles sans l’investissement des bagueurs et bagueuses, de leurs assistant.e.s et des bénévoles qui les ont accompagnés, des structures et des gestionnaires de sites qui ont accueilli ces opérations et de nombreux autres partenaires du projet :

SMCG, Réserve nationale des marais du Vigueirat, COGARD, Grand site Salagou – Cirque de Mourèze, A. Rocha, Ligue pour la Protection des Oiseaux, Groupe Salins, Groupe Ornithologique du Roussilon, Monticola, Aude Nature, Med Migration, CEN PACA, CEN Occitanie, Réserve nationale des Coussouls de Crau, Parc naturel régional de Camargue, Conservatoire du littoral, Parc national des calanques, Parc national de Port-Cros, Station ornithologique Suisse.

Pour aller plus loin

Liens

  • Site web du projet Migralion
  • Rapport de synthèse du projet Migralion
  • Poster de restitution
  • Actualité

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